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A l'heure où nombre de marques ont à leur catalogue des gravels alu et carbone, la marque française Lapierre ne possède que le Crosshill aluminium dans sa gamme.

Ce qui n'est pas une raison pour le bouder, l'aluminium étant pertinent pour aller rouler sur les chemins, le gravel étant moins soumis à la culture de la légèreté que la route. La gamme Crosshill de Lapierre s'étend de 1299 à 2599 €.

C'est ici la version milieu de gamme à 2199 €, le Crosshill 5.0, que j'ai pu tester. Une belle surprise, qui permet de rendre accessible le gravel avec un vélo sérieusement construit et des composants parfaitement adapté comme le groupe Shimano GRX 12 vitesses à double plateau pour sa version 2024.

Dévoilé en février dernier en même temps que les Velocis et le RSL Knit, les nouvelles chaussures routes Trek RSL, proposées à 399.99 €, ont été créées pour les cyclistes professionnels, avec leur aide.

Elles s'adressent donc à tous ceux qui sont à la recherche de rigidité, de performance. Et pourtant, ces chaussures surprennent grâce à un confort de très haut niveau, notamment grâce à la technologie METNET, qui permet aux coureurs de profiter du meilleur confort de la catégorie sans remettre en question les performances.

Une technologie qui se devine dès qu'on enfile la chaussure, à tel point que j'ai dû opter pour une pointure de moins qu'à l'accoutumée.

Orca, un nom qui résonne dans les pelotons depuis plus de 20 ans déjà. C'est LE vélo route qui a fait connaître la marque basque Orbea.

Présentée en juillet 2023, voici la septième génération d'Orca. Un vélo qui se veut toujours aussi polyvalent, mais qui s'allège, se montre un peu plus aérodynamique et bénéficie désormais des roues maison Oquo.

Pour cet essai, Orbea m'a permis de personnaliser le montage et la peinture de cet Orca grâce au configurateur MyO. Un vélo qui arrive à conserver un rapport prix / équipement / poids toujours intéressant, puisque ce modèle pèse 7.7 kg pour 6600 € environ dans cette version avec cadre carbone OMR plus accessible que les versions OMX.

Sur le papier, ce Panaracer GravelKing SK est le compromis idéal pour une utilisation Gravel majoritairement orientée Offroad, sur des graviers ou chemins en terre battue, sans pour autant pénaliser le rendement sur la route.

C'est en tous cas l'avis de tous les pratiquants gravel de mon entourage qui ont utilisé ce modèle qui jouit d'une belle notoriété au sein des cyclistes gravel.

J'ai donc décidé de tester ce modèle depuis plusieurs mois dans sa version tubeless 43 mm affichée au prix public de 49.99 €. Une belle polyvalence aussi bien sur le bitume que sur terrains meubles tant que les conditions sont sèches.

Swiss Side Technologies AG a présenté ce produit en février, son dernier textile aérodynamique, des chaussettes aérodynamiques pour cyclistes sur route et contre-la-montre. Ces chaussettes conformes à la règlementation UCI sont la suite logique du projet de développement des manchons AERO CALF pour triathlètes, lancés par Swiss Side en juin 2023 et qui ont été un grand succès.

Selon les essais internes, les AERO SOCKS ont permis d'atteindre entre 60 % et 80 % de la réduction de traînée des manchons AERO CALF, avec des économies de traînée comprises entre 3W et 6,5W mesurées à 45 km/h.

Des données que je n'ai pas pu vérifier, en revanche, j'ai pu tester ce produit du côté du confort, notamment sur des sorties allant à plus de 7 heures.

Comme leur dénomination l'indique, ces couvre-chaussures ont été spécialement conçus pour protéger vos pieds de la pluie.

Un matériau totalement imperméable (polyuréthane) et des coutures parfaitement étanches, tout est fait pour que la pluie n'atteigne jamais vos petons.

J'ai pu tester ces couvre-chaussures Rain facturés 80 € depuis cet hiver autant pour vérifier leur efficacité sous la pluie (de la simple averse aux grosses pluies) que la gamme d'utilisation de températures.

Clairement un must pour protéger de la pluie, mais dont il faudra prendre soin pour ne pas rapidement le détériorer.

Les vélos à assistante électrique route ont toujours du mal à s'ancrer dans le paysage cycliste français. Pas étonnant, quand on voit les remarques auxquelles les possesseurs de ce type de vélos sont confrontés. D'ailleurs, je m'attends avec la publication de cet essai au même flot de commentaires stupides.... "c'est pas du sport...", "c'est de la triche..." ou encore "c'est pas un vélo, c'est un scooter". Bref, passons.

Est-ce pour cette raison que ce Trek Domane+ SLR 6 AXS se mue légèrement en gravel avec ses pneus en 40 mm de section, pour faire transition entre le VTT où l'assistance électrique est parfaitement acceptée et la route ? Un Trek Domane+ SLR 6 AXS muni d'une motorisation TQ-HPR50, 1,85 kg pour le seul moteur, 50 Nm de couple et 300 W de puissance maximale.

Un vélo qui brille par sa polyvalence, son silence et son endurance.