Toutes les catégories seront concernées, des cadets aux premières catégories, sans oublier la catégorie loisir et ce, sur toutes les épreuves route, VTT, piste, cyclo-cross et loisir des calendriers nationaux et régionaux seront susceptibles d’être contrôlées. Cette mesure s’applique tant en métropole que dans les départements ultra-marins.

L’objectif de ce plan de lutte contre la fraude technologique, dont Laurent IDELOT sera le Référent Technique National, est la validation de la performance de nos coureur(e)s qui investissent les podiums, quelle que soit l’épreuve.

Par le biais de cette action, la FFC entend mettre en œuvre sa grande détermination à vouloir dissuader toute personne d’utiliser ce type de procédé représentant la négation même du sport cycliste. « Nos compétitrices et compétiteurs doivent savoir qu’il peut y avoir des contrôles effectués contre la fraude technologique, et que nous les réaliserons dans toutes les catégories et sur l’ensemble du territoire national », indique, le président de la Fédération Française, Michel Callot.

Pour ce faire, et dans l’attente de la validation des tablettes « nouvelle génération » de l’UCI, dont seront équipés les commissaires techniques dès que cela sera possible, il sera procédé au démontage des vélos, à l’arrivée des courses, sur lesquelles un contrôle sera diligenté.

Enfin, et pour rendre efficient ce plan d’’action, la Fédération Française de Cyclisme a, par ailleurs intégré, ce dispositif de lutte contre la fraude technologique dans son règlement disciplinaire.

Le groupe de travail de la FFC sur la Fraude Technologique était composé de Michel Callot, Président, Ludovic Sylvestre, Vice-Président et Jean-Christophe Péraud, manager matériel et lutte contre la fraude technologique à l’UCI.

Source : France Cyclisme