Suffervision-Greipel-Etape6-TDU2014-detail.jpgMême si le slogan de Suffervision est "be safe be seen", afficher ces données ne prouve strictement rien ne matière de dopage.
Comme vous pouvez le voir sur le capture ci-contre, on peut avoir en surimpression de la vidéo de nombreuses données qui sont issues directement du SRM. Notamment la vitesse, mais aussi la puissance instantanée, ainsi que la puissance maxi sur 1s, 10s, 1mn, 5mn et 20mn.

Une analyse en différé est en effet plus intéressante que l'affichage en direct à la télévision ou de nombreux pseudos spécialistes calculent déjà la puissance des coureurs "à la louche", se permettant ainsi de dire qu'untel est dopé ou pas en n'ayant ni la vitesse du vent, ni le poids exact du coureur et de son vélo...

Mais pour les passionnés comme moi, c'est intéressant. Et l'on voit le gap énorme qu'il y a entre un pro et un amateur. De mon côté, je sors 320/330W maxi sur 3mn. Sur le final de cette 6ième étape du Tour Down Under 2014, André Greipel a du sortir 300W sur les 20 dernières minutes et même 369W sur les 5 dernières minutes pour aller gagner !


Autre exemple, celui de Thibaut Pinot lors de la 8ème étape de la Vuelta 2013.