Développer un vélo optimisé pour l’endurance qui favorise la diminution de la fatigue et le transfert de puissance.

Le Pulsium nouvelle génération s’est paré d’un look résolument plus typé course que son prédécesseur. Il s’inspire d’un autre modèle phare, le Xelius SL.

Côté confort, Lapierre reste fidèle à sa technologie brevetée SAT (Shock Absorption Technology), une bague élastomère absorbante qui en se comprimant permet une légère flexion entre le tube de selle et le tube supérieur avec pour objectif d’absorber les irrégularités de la route et donc de soulager le cycliste.

Mais si le système reste identique en de part son fonctionnement, les ingénieurs Lapierre ont encore amélioré l’efficacité de cette technologie grâce à un nouveau design de l’élastomère.

A présent basé sur un élément unique (contre trois auparavant), la matière dédiée à l’absorption s’en trouve renforcée pour meilleure absorption des vibrations et des chocs, sans aucune incidence néfaste sur le rendement.

La construction simplifiée du cadre a également permis d’optimiser l’utilisation des fibres de carbone, pour une meilleure finition et une accessibilité plus aisée en cas de remplacement.

La technologie Lapierre Powerbox est commune à l’ensemble des vélos utilisés par l’équipe cycliste FDJ. Il s’agit du centre de contrôle du transfert d’énergie.

La rigidité latérale a été renforcée grâce à une disposition optimale des différentes couches de carbone et des tubes surdimensionnés au niveau de la douille de direction et du boitier de pédalier qui ont permis d’améliorer la performance dynamique du cadre.

Toute la puissance est transmise, sans perte à la roue arrière. On obtient un cadre qui accélère plus vite, plus maniable et plus stable.

Lapierre annonce une rigidité du boîtier de pédalier augmentée de 40%, une rigidité de la douille de direction améliorée de 20% et une rigidité des bases qui augmente de 25%.

Sous la boîte de pédalier, on retrouve la technologie brevetée TDT (Trap Door Technology) qui permet le placement de la
batterie Di2 dans le cadre au niveau du boitier de pédalier. Une astuce qui permet à la fois une maintenance plus aisée ainsi qu'un abaissement du centre de gravité, notion très importante sur une course qui se déroule sur les pavés.

Le déport de la fourche a lui aussi été retravaillé pour obtenir un comportement plus agile à
l’image du Xelius SL.

A noter également que l’équipe FDJ utilisera des freins à patins Shimano sur les pavés du Paris Roubaix.

Les freins à disques, pourtant largement mis en avant depuis le début de l'année, notamment par certains coureurs, semblent ne pas être poussés du côté de l'équipe FDJ. D'ailleurs, certains coureurs qui devaient utiliser ce système de freinage jusqu'à Paris-Roubaix ne l'utilisent plus depuis plusieurs courses...

Voici donc le vélo qui sera utilisé par l'équipe FDJ dès ce dimanche pas les coureurs de l'équipe FDJ et notamment Arnaud Démare, qui part comme leader de l'équipe sur les pavés.

Plus d'infos sur les tarifs et la date de commercialisation de la version publique prochainement.