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Une présence indispensable

Premier enseignement, qui n'est pas vraiment une révélation, c'est qu'être présent sur Eurobike est pour moi indispensable. Pour voir les nouveautés bien sûr, mais surtout, continuer à tisser des contacts parmi les marques de cycles, voir des gens que l'on ne voit qu'une fois par an à cette occasion, ...

D'autres marques m'ont directement contacté via la page Facebook pour que je me rende sur leur stand. Sympathique attention.

Des retours très positifs des marques

Plusieurs marques m'ont félicité pour mon travail et ont acté de travailler plus avec moi.

Certaines ont fait de Matos Vélo un passage obligé pour leurs tests et ce, pour plusieurs raisons. Le trafic et le positionnement hyper spécialisé du site, mes critiques (positives et négatives) qui semblent très justes aux dires de certains, mais surtout, les commentaires sur le site et la page Facebook.

Quelques marques m'ont avoué tirer des enseignements de vos commentaires présents sur le site. Raison pour laquelle j'ai la primeur de certains tests vélos, là où avant je passais après d'autres.

Un salon presque trop grand pour un seul homme

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13 halls pour 100.000m², 1350 exposants, 46000 visiteurs professionnels et 1766 journalistes, ce sont les chiffres assez hallucinants de l'Eurobike.

Et force est de constater que seul, c'est du sport. Environ 11km de marche par jour au sein du salon, au pas de course pour aller d'un rendez-vous à un autre, clairement, les limites sont quasiment atteintes. Un 4ième jour n'aurait pas été de trop.

C'est sûr qu'à côté de structures plus grandes qui envoient entre 4 et 12 journalistes, c'est moins confortable.

Eux peuvent traiter directement des infos et publier les articles dans l'heure, de mon côté, j'attends de rentrer le soir et bosse jusqu'à 1h30 du matin pour publier les infos les plus importantes.

Me suis donc longtemps demandé comment j'allais faire l'an prochain. Y aller avec quelqu'un ? Le problème reste de trouver une personne qui parle un peu anglais, qui s'intéresse au matériel et suffisamment douée en photo pour faire des clichés. Pas évident. L'automne et l'hiver seront sans doute l'occasion de réfléchir à un dispositif un peu plus conséquent pour l'an prochain.