Pour arriver à ce résultat, les câbles courent à travers des tubes en nylon situés sur chaque côté de la chaussure. Ces tubes nylon représentent le squelette du système qui est totalement intégré à la chaussure.

Ces tubes de nylon vont ensuite jusque sous la semelle dans laquelle des tunnels ont été créés pour laisser la place aux câbles. Une semelle 100% carbone unidirectionnel FAW 150, résistante aux impacts et très stable même avec de grosses amplitudes thermiques. Cette dernière s'annonce comme très rigide et aérée grâce à l'orifice placé sur l'avant du pied et avec les micro perforations de 5mm sur la semelle interne.

La semelle est réalisée avec une structure monocoque afin d'éliminer le contrefort externe du talon et enveloppe complètement la partie inférieure et postérieure du pied.

La tige et la languette sont en une seule partie alors que traditionnellement, ce sont deux parties distinctes sur une chaussure. La languette vient se rabattre sur la tige.

Des perforations sont présentes sur la partie antérieure du pied pour l'aération. On trouve aussi un insert anti-slip au niveau du talon pour éviter la remontée du pied lorsque le coureur tire sur les pédales.

 

Pour cet innovant système de serrage, DMT a fait appel au spécialiste en la matière, Boa, avec un disque L6. Moins pratique qu'un IP1, le L6 est en revanche beaucoup plus fin. Il ne permet par contre pas de deserrer de façon millimétrique les câbles. On peut serrer en tournant (1 clic = 1 mm), mais pour relâcher le câble, il faut tirer sur le disque en débrayant le système.

 

Disponible du 37 au 47 (37.5 au 45.5 en demies-pointures), les RS1 sont annoncées à 520g la paire en taille 41.

Disponible dès aujourd'hui en noir ou blanc au tarif de 309€.