Présentation

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Outre ce coloris blanc/rouge, le Vertigo 2.0 est disponible dans 11 autres coloris. Autant dire que le choix est vaste et chacun devrait trouver la cosmétique qui lui plaît le plus.

Le prix catalogue est de 180€, mais on le trouve plutôt à 140€. Un tarif bien placé quand bon nombre de casques atteignent voire dépassent les 200€.

24 entrées d'air sont uniformément réparties sur toute la surface et devraient conférer une bonne ventilation, notamment lors des fortes températures.

Les mousses intérieures sont en Coomax et sont facilement retirables pour pouvoir les laver.

A l'arrière, on trouve un système de serrage appelé Up'n'Down. Grâce à un système à double pivot unique associé à un disque micrométrique, il permet d'épouser parfaitement la tête de chacun.

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Chaque pièce plastique est recouverte à l'intérieur d'une mousse, pour plus de confort.

Le Vertigo 2.0 est annoncé à 270g en taille L, j'ai mesuré mon exemplaire à 264g. Soit à peu de choses près le même poids que le Protone que j'avais testé !

Sur la route

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Le Vertigo 2.0 se rapproche indéniablement du Protone en ce qui concerne le confort et la ventilation. La double articulation du système occipital Up'n'Down est très aboutie et permet de parfaitement régler le casque. Sincèrement, j'ai même trouvé le système plus réussi que l'Octo Fit du Protone, pourtant le modèle haut de gamme.

Par temps chaud, ses 24 entrées d'air sont très efficaces. En contrepartie, en hiver, il faudra rapidement se munir d'un bonnet sous-casque pour éviter d'avoir trop froid. Pourtant pas frileux, j'ai trouvé trop frais dès que le mercure descend sous 10°C.

La mentonnière lavable et anti-allergique est extrêmement confortable et permet d'éviter une irritation de la peau. Même si je ne suis pas sujet à ce type de problème, c'est bien que Kask y pense.

Le design général ne fait pas "une grosse tête" comme ça peut être le cas de certains modèles, notamment sur ce type de taille 59/62cm.

Bilan

Sincèrement, après le test de ce Vertigo 2.0, je me demande ce qu'il reste au Protone pour justifier son tarif. Surtout que côté poids, les deux casques se valent. Bien sûr, le Protone, issu de la collaboration avec l'équipe Sky, offre de meilleures performances (tout au moins sur le papier) aérodynamiques. Mais pas sûr que cela justifie pour un cyclosportif d'investir un peu plus de 200€ quand le Vertigo 2.0 ne demande que 140€.

Surtout qu'en termes de ventilation, ce Vertigo n'a rien à envier à son aîné.

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